La péninsule de Valdez

La péninsule de Valdez en un sanctuaire animalier, notamment des baleines et des orques.

Mais pour arriver ici, il faut prendre le bus : c’est le moyen de transport classique en argentine.

Mais 20h00 de bus, c’est beaucoup !

Ici tout le monde attend le bus pendant des heures. Et comme il y a des chiens partout, il y en a plein le terminal de bus.

Certains sont même très câlins :

calin chien

 

 

 

 

 

 

D’autres attendent le bus avec leurs bagages …

chien qui attend le bus

 

 

 

 

 

 

Donc, nous montons dans le bus, et après une nuit pénible, nous voici à Puerto Madryn, la porte de la péninsule de Valdez.

Ici, c’est le paradis des baleines, mais pas en cette saison : il n’y en a aucune. Mais pas de panique, nous sommes surtout venus voir les orques : c’est le seul endroit au monde où ils ont mis au point leur technique d’ataque des bébés lions de mer, qui consiste à presque s’échouer sur la plage pour venir les attraper sur le sable. Nous nous sommes donc rendus à Punta Norte , l’endroit stratégique. Ces attaques ne se produisent que entre mi Mars et mi Avril, lorsque les bébés lions de mer apprennent à nager.

Nous sommes donc juste au bon moment !!

bebe lion de mer

 

 

<=== La proie idéale.

 

 

 

Hélas pour nous ( et heureusement pour les bébés lion de mer, il n’y aura pas d’attaque ce jour là.

A la fois déçus et soulagés, nous nous consolerons en admirant les autres animaux présents :

pingouin

 

 

<=== Le pingouin qui se chauffe au soleil.

 

 

 

 

 

rongeur

 

 

<=== Le rongeur donc j’ai oublié le nom…

 

 

emeu

 

 

Une famille d’emeux

 

 

 

tatoo

 

 

<===  Un genre de tatoo trop mignon

 

 

alex  elephant

 

 

 

<=== Alexandra fait un câlin a un lion de mer

( dédicace spéciale à papy)

 

 

 

vautour

 

 

<=== Et l’inévitable vautour, aussi déçu que nous qu’il n’y ai pas eu de carnage par les orques sur le sable…

 

 

 

Nous avons été déçu de ne pas voir d’orques, et notre guide l’a bien senti. Il a essayé de se rattraper en nous faisant voir un Cheval de mer ( Hyppocampe). Mais cela faisait un peu trop  » attrape touriste » quand même…

cheval de mer

 

 

 

 

 

 

 

 

Hem…

Durant tout notre périple, nous avons logé chez Gaston, que nous remercions encore pour sa gentille et sa soirée BBQ ( miam !).gaston

 

 

 

 

 

 

Nous reprenons donc le bus ( encore 20h00, sniff…), direction Buenos Aires.

Capitale du Tango, nous voici !

 

La patagonie ou le pays des glaciers et du vent.

Ca y est, nous sommes au bout du monde, en Patagonie.

Voici notre porte d’entrée dans ce monde de vent et de froid.

panneaur

 

La ville de Punta arenas est une ville basique, dans laquelle nous avons fait la connaissance de  la famille LEGOUBE, qui fait le tour du monde elle aussi, avec ses trois enfants : nos bagages ont été égarés par la compagnie aérienne en même temps… Ce sont des choses qui arrivent ici, mais cela s’est arrangé rapidement. Une mauvaise chose pour une belle rencontre, au final. Nous nos étions déjà croisé, mais plus rapidement, sur l’île de Pâques, et encore plus brièvement à Tahiti… Le monde est petit.

Nous nous reverrons à Buenos Aires et aux USA. D’ici là, nos chemins se séparent car ils remontent vers le nord plus vite que nous : nous avons décidé de randonner dans les glaciers ici.

Nous sommes donc sur le détroit de Magellan, sur le 40ème parallèlle, et nous n’irons pas plus bas. En effet, nous avons finalement décidé de ne pas aller en Antarctique, voyage trop couteux et trop long. Le timing ne nous le permet pas.

Première constatation ici : le paysage est pelé, sans arbre. La terre est balayée par les vents… en nous sommes en été. On sent que l’hiver est rude.

Nous remontons ensuite vers Puerto Natales, pour préparer notre randonnée.

On nous explique que dans les rue, il y a des poteaux et des cordes pour que les gens ne se fasse pas emporter par le vent en hiver… ambiance.

Le parc Torres de Paine est le paradis des randonneurs, pour peu que l’on soit bien équipé : marche dans les montagnes et glaciers, il peut faire froid, pleuvoir, faire chaud, avoir du vent, le tout dans la même journée…

Nous allons attaquer le « W », très connu ici. Mais avec des enfants, tout le monde nous regarde bizarrement. Pas de souci, même pas peur.  Nous voici parti pour cinq jours de marche dans la nature. Le premier jour a été difficile, mais ensuite, tout le monde s’y est mis, et à porté son sac à dos sans rechigner ( à une exception près, mais je ne trahirai personne).

 

Les paysages sont au rendez vous, et les rencontres sont toutes sympathiques.

Parfois, il faut beau, donc :
photo rando

Parfois non :

col

Mais au bout de cinq jours d’efforts, nous sommes arrivés sur les glaciers et icebergs, rien que pour nous ( ou presque) :

iceberg

 

Et hop, un glaçon pour Alexandra

alexiceberg

 

jmelo

 

 

 

Ici aussi, les animaux sont présents. Peu habitués à l’homme, ils ne s’enfuient pas (trop) :

Les Guacanos : les cousins locaux des Lamas.

guacanos

Un Red Fox, qui voudrait bien dormir ( il est 8h00 du matin, et il a chassé toute la nuit).

red fox

 

Cette randonnées à été l’occasion d’une vrais pause dans la nature ( parfois un peu fraiche) très salutaire dans notre périple. Ici, nous sommes dans le royaume des animaux, et pas l’inverse.

 

Puisque nous sommes dans le coin, nous faisons un saut au fameux glacier Perito Moreno. Avec une hauteur totale de 170m, donc 75 m au dessus de l’eau, c’est un monument de la nature.

Nous l’avons observé de loin :

perito moreno

 

 

Puis de plus près, afin de voir ( et d’entendre ) son avancée ( environ 2 m par jour). C’est un spectacle assez sedentaire, mais fascinant.

 

Puis nous avons été faire un petit trekk dessus. Très impressionnant, nos sommes au coeur d’un desert blanc immense ( 30 kms de long). La photo ci dessous, prise au coeur du glacier rappellera des souvenirs à certains …

whisky

 

Nous quittons maintenant la Patagonie : nous commençons notre remontée vers le nord. A partir de maintenant il va faire de plus en plus chaud ( ou de moins en moins froid….). Nous repartons plein d’energie après cet intermède montagneux et froid mais fascinant.

 

 

 

Ile de Pâques.

Sur la route de la Patagonie, nous voici sur l’île de Pâques ( Rapa Nui en langage local), avec ses statues étranges.

Effectivement, on peut se demander ce qui a poussé les habitants de cette petite île de 24 kms de longueur par 12 kms de large à dépenser autant d’énergie à tailler, puis déplacer des statues de plusieurs dizaines de tonnes, sur cette île où survivre devait déjà être un défi constant.

 

Pour visiter, nous avons opté pour le moyen le plus pratique : le cheval. Cela permet en outre de monter les sommets pour une vue de toute l’île. Trop bien.

cheval

 

Première constatation, sur cette île, aucun arbre ( depuis le 16ème siècle d’après notre guide).

Deuxième constatation, l’île est en fait un gros volcan. Le cratère impressionnant nous le rappelle :

cratère

Evidement, nous allons ensuite voir les statues ( les Moaïs).

statues 1

 

Contrairement à ce que l’on pense généralement, les Moaïs ne regardent pas la mer, mais lui tournent le dos.  Si, si, regardez bien :

statues + mer

On pourra noter que certains Moïas plus coquets que d’autres portent un chapeau… 🙂

On peut aussi remarquer que les habitants pratiquaient le recyclage, bien avant le parti écologiste.

tête

En fait, les statues sont taillées dans la pente d’un volcan, et c’est seulement ici, avant d’être amenées sur leur socle, qu’elle sont encore face à la mer.

Voici une statue abandonnée ici, avant son transport vers sa destination prévue. On sent qu’elle s’ennuie depuis longtemps..

solitude...

En fait, les statues étaient taillées, puis descendues sur la pente et redressées  là. Voici une photo qui retrace un peu cette cinématique :

cinematique

 

Et voici la photo des deux statues les plus célèbres, celle que l’on voit un peu partout. Elles aussi ont été abandonnées là subitement. Il reste ici quantité de ces statues plus ou moins achevées. On sent que tout le monde est parti d’un coup  pour ne jamais revenir… C’est très étrange…

Statues 2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avant de quitter le site, certains d’entre nous ont tenu a utiliser la pierre d’energie de l’île. Il parait qu’elle apporte énormément de bienfaits ( energie, fécondité, guérison, mieux qu’un sorcier africain).

En tout cas, ca fait sourire les autres, c’est déjà ça 🙂

pierre

 

 

 

 

Nous ne sommes restés que 4 jours sur cette île, mais nous aurions aimé y rester plus longtemps. Les balades à cheval sur les pentes de l’île sont superbes, et nous sommes un peu  hors du temps ici.

A nouveau, nous repartons à regret…

Direction la Patagonie. Il va falloir ressortir les pulls et les pantalons 🙁

 

 

La polynesie Française

Et nous voici à Tahiti…. Destination révée par beaucoup. Un petit clin d’oeil à Gérard et Mauricette, qui nous ont précédé ici il y a une quarantaine d’années.

Nous sommes arrivés à Papeete, l’île principale, sur laquelle nous avons pu tester le rythme pas vraiment frénétique les insulaires. Nous avons aussi testé les roulottes, restaurant/caravannes : une institution ici.

Il faut reconnaître que l’on y mange très bien, pour pas cher, et que l’ambiance y est agréable.

 

Bien sûr, nous avons aussi plongé dans le lagon. Nous n’avions pas encore vu une eau aussi claire, c’est impressionnant.

lagon1

 

Ensuite, direction Moréa, Bora Bora, Ranguiroa.

 

Eloïse et Alexandra ont pu prendre un cours de tressage de palmier sur la plage. Nous sommes maintenant prêts à construire une maison de nos propres mains… enfin, je crois…

eloise

L’étape finale sera Fakarava, une île plus lointaine et encore préservée de la foule. Le corail est encore intact, contrairement aux autres îles, et il n’y a pas grand monde ici.

 

fakarava1

 

le paradis

 

L’infrastructure  est plus que sommaire ( on ne peut pas se perdre, il y a une seule route), et les habitations sont, disons, rustique.

Dans notre case, par exemple, en cas de pluie, il y a un rideau d’eau entre la chambre et les toilettes. Il ne faut pas avoir de petite envie durant la nuit…. Plutôt dépaysant…

Sous l’eau, ici , c’est la paradis. Tortues, requins par paquets de cent ( ou plus), murènes, barracudas… On ne sais plus où donner du regard. Trop bien !!

Cette escale de 2 semaines nous aura rempli les yeux de toutes les images que l’on ne voit habituellement qu’en carte postale. C’est aussi le paradis de la plongée et du farniente. Par contre, vivre ici au quotidien doit être plus difficile, sauf à travailler dans le tourisme.

Une escale plaisante et reposante donc, mais nous devons repartir pour les prochaines aventures.

 

Nouvelle zélande, le rugby, mais pas seulement…

Voici le pays des all blacks qui nous accueille… Pas de doute, on y est : le chauffeur de taxi qui vient nous chercher à l’aéroport nous dit direct qu’il est déjà allé en France, …pour voir la coupe du monde de Rugby.

Le second que nous croisons, quand il apprend que nous sommes Français, nous lance un ‘ désolé pour la finale à Auchland’ malicieux. ( pour ceux qui ne savent pas, la France à perdu en finale de la dernière coupe du monde à Auckland contre les all black, de justesse).

Ca va durer comme ça tout le long du voyage, mais dans un bon esprit, alors on s’y habitue.

J’en profite pour adresser un clin d’oeil à Franck et Cyrille, les deux entraineurs de rugby d’Amaury. Merci encore à eux pour leur gentillesse et leur investissement pour les jeunes dans ce sport.

Mais il n’y a pas que le rugby ici, il y a aussi une  ( ou plutôt deux) îles magnifiques.

Nous avons commencé par l’île Sud, pour découvrir la faune marine locale, et nous n’avons pas été déçus.

Nous avons commencé par l’Otago peninsula, royaume des albatros, phoques, pingouins, lions de mer, et moutons ( oui, je sais, ce n’est pas un animal marin).

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<=== envergure : 3m . Il ne rentre même pas dans le cadre …

Ce n’est pas vraiment un animal marin non plus d’ailleurs …

 

Trop mimi
Trop mimi

 

 

 

 

 

 

 

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<=== Celui là, il me fait trop pitié.

 

 

 

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Le mouton : omniprésent sur l’île.

 

Nous sommes ensuite remonté sur Kaïkoura, pour continuer dans la même veine, c’est à dire la faune marine.

Nous avons eu la chance de pouvoir nager avec une bande de dauphins sauvages ( très nombreux, environ 200 le jour de notre baignade) curieux et joueurs.  Il suffit de faire du bruit dans l’eau et ils viennent vous voir, ils tournent autour de vous pour vous étudier. A vous de garder le contact occulaire en tournant aussi ( sans se noyer si possible).

L’expérience est inoubliable !

 

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Il y a aussi des cétacés, mais il est interdit de nager avec eux… Alors, nous avons pris un peu de hauteur.

Cachalot, 19m, 40T. Grosse bête !!
Cachalot, 19m, 40T. Grosse bête !!

Nous avons logé sur le site de  » The Factory », tenu par Paul et Janet, qui nous ont acceuilli avec une gentillesse extraordinaire, et que nous tenons à remercier. Un couple adorable, qui sait vivre et en faire profiter les autres. Paul est un caméraman professionnel, qui fait des photos de toute beauté aussi. Il m’a expliqué quelques petites choses sur mon appareil photographique, j’en avais bien  besoin 🙂

Voici le dîner qu’ils nous ont offert : du crayfish ( de la langouste locale, trop bonne !)

Repas de roi !
Repas de roi !

Puis , à la suite cet épisode , nous sommes remontés vers l’île Nord, et ses volcans. La zone est toujours très active, et nous avons pu observer toutes les manifestations possibles ( en dehors d’une franche éruption heureusement) : geysers, fumeroles, lacs d’eau bouillante, boue en ébuliltion, …

Le plus grand lac d'eau chaude du monde ( 80°C)
Le plus grand lac d’eau chaude du monde ( 55°C)
Perdus dans la nature...
Perdus dans la nature…

Nous avons terminé par Auckland, très jolie capitale avec une plage intégrée ( une vraie hein, pas comme à Paris !). D’ailleurs, nous y avons passé notre dernière après midi, pour bien terminer notre séjour, juste devant la baie célèbre pour la coupe de l’América.

 

La nouvelle zélande fera partie des très belles destinations de ce Tour du monde, et nous la quittons à regret. Direction Tahiti !

 

Australie.. terre de surf, de plongée, et de cyclones…

Après deux grandes villes, nous arrivons à Agnès water, une petite bourgade de l’Australie  profonde, mais au bord de la mer et de la grande barrière de corail !

Nous sommes donc remontés de 4000 kms au nord de Melbourne, et la température est montée en flèche. 30°C mini, soleil, mer à 28°C, c’est parfait.

A nous les plongées merveilleuses et le surf.

Nous avons donc passé nos premiers jours à apprendre le surf. Ici, c’est le sport national, et il y a des planches partout sur la mer. Ca parait facile d’ailleurs.

En fait, ça l’est un peu moins que prévu. Mais nous arrivons à tenir debout sur les petites vagues. Pour les grosses, il va falloir attendre encore un peu. Par contre, pour les coups de soleil, c’est tout de suite. On aurait dû se douter en voyant le prof de surf se badigeonner de crême solaire indice 50 ( le mythe du surfeur Australien en prend un sacré coup au passage).

Nous en profitons aussi pour aller à la chasse ( photographique) aux kangourous. Ce n’est pas trop dur, il suffit d’aller dans le bush, pas forcément très loin des villes.

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Une maman et son petit, qui a sauté dans la poche en nous voyant arriver ..

 

Nous allons donc pouvoir passer à la plongée.. Joie !

Mais ici, quand le temps change, il change …

Donc, on s’est pris un cyclone  :

 

image couleurs réelles
image couleurs réelles du cyclone

 

Pour nous localiser, c’est là :

Localisation
Localisation sur image radar

 

 

 

 

 

 

 

Au début, il a juste plu des torrents d’eau durant 5 jours et 5 nuits sans discontinuer. Après, quand la clôture du voisin s’est envolée, on aurait dû se douter que c’était un peu plus qu’une petite tempête Normande… On vous laissera aller voir les infos sur Internet, pour vous donner une idée des dégâts que ce cyclone a fait dans le Queensland.

Mais nous, on a pas peur… donc, nous sommes partis à 3h00 du matin, pour aller prendre notre avion, à 400 kms de là. Bon, il y avait bien quelques grosses flaques sur la route au début, c’est vrai. Mais quand on a perdu la route de vue à cause de l’eau qui passait dessus, on a commencé à s’inquiéter. Et quand le niveau de l’eau est arrivé au dessus des phares, on s’est VRAIMENT inquiétés , surtout que le courant était très fort. En fait, on avait l’impression qu’un fleuve coupait la route, à moins que ce ne soit le contraire…

Du coup nous avons fait demi tour, tant bien que mal, en priant que le moteur n’aspire pas d’eau, et nous sommes rentrés à notre location, en récupérant les clés là où nous les avions laissés. On verra une autre fois pour l’avion. Evidemment, nous n’avons pas dormi tout de suite… Le stress peut être…

Un gros regret : nous n’avons pas fait de photos de tout cela ( j’avoue que je n’y ai pas pensé dans l’action). Vous ne verrez donc pas d’images. Désolé.

Finalement donc, pas de plongée, mais une belle frayeur !

Nous avons raté au final trois avions, car les routes n’ont été praticables que plusieurs jours plus tard, et encore, parce nous avons changé d’aéroport pour pouvoir partir, et donc de route. Au final, les routes ont été submergées par 1,5 m autour de notre lieu de villégiature, alors forcément, il faut un peu de temps pour évacuer toute cette eau.

 

Bref, le départ de l’Australie a été un peu douloureux mais le pays mérite d’être visité. Nous sommes restés charmés par les Australiens, très ouverts et accueillants. Nous reviendrons sûrement. ( En plus, nous n’avons même pas pu faire nos plongées sur la grande barrière de corail , donc nous reviendrons au moins pour cela! )

 

Melbourne

Après Sydney, nous descendons vers Melbourne.

Normalement, lorsque l’on va vers le sud, il fait plus chaud. Mais pas ici, car nous sommes dans l’autre l’hémisphère . Nous l’apprenons à nos dépends et nous ressortons les pantalons.

Melbourne est une ville bien agréable, assez classique.

Nous sommes allés bien entendu voir la légendaire  » Ocean Road », la route sur laquelle figurent les plus célèbres spots de surf qui ont fait ‘histoire de ce sport dans les années 70. Il y a toujours des surfeurs d’ailleurs. Mais vu leur âge, ce sont  vraisemblablement les mêmes que dans les années 70 ( les cheveux en moins).

Nous avons à nouveau sympathisé avec un Australien, SAM,  ancien pilote de ligne qui, lors de sa retraire, a acheté une ferme près de Melbourne pour cultiver des olives (!) Nous l’avons croisé lors d’une recherche de restaurant le jour de notre arrivée.  Pas de doute,les Australiens sont définitivement des gens conviviaux.

Nous avons ensuite été lui rendre visite sur sa ferme :

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Dans le genre ‘ touriste », nous avons été visiter » The edge », cube de verre qui dépasse de la tour la plus haute de Melbourne, et qui permet donc d’avoir les pieds au dessus du vide. C’est un peu l’arnaque, mais bon, on ne laisse pas passer l’occasion :

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A part cela, Melbourne est une ville très agréable, avec beaucoup de sports nautique, surf donc, mais aussi Kite surf :

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Nous avons aussi utilisé cette semaine pour faire beaucoup de travail scolaire, dans un appartement très class. Mais niveau internet, c’est toujours la galère.

Espérons que ce sera mieux lors des semaines suivantes….

 

Jour de l’An au bout du monde !!

Nous voici donc arrivés en Australie, à Sydney ( le 29 décembre, je suis en retard sur mon blog).

C’est aussi joli que sur les cartes postales, et les australiens sont très aimables et faciles d’accès. Il y a aussi nombre de Français expatriés. Nous en rencontrons chaque jour, c’en est surprenant.

Voici quelques vues de la ville :

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La baie de Sydney .
La baie de Sydney .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Evidemment, nous sommes allés voir le feu d’artifice. Un des plus beaux du monde paraît-il…

A priori, tout le monde est au courant : certaines personnes font la queue la veille, et dorment sur le trottoir pour avoir de bonnes places. Nous avons choisi de venir à 10h00 du matin seulement, et de passer la journée au soleil en attendant le soir.

 

6 Français sont perdus dans la foule.
6 Français sont perdus dans la foule.

 

Ici, c’est facile : il fait chaud… Vraiment chaud. En fait, nous avons passé notre temps à bronzer. Notre premier jour de l’an au soleil, c’est plutôt agréable.

 

 

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Vue sur la baie, l'opéra et le ont d'où sera tiré le feu d'artifice !!
Vue sur la baie, l’opéra et le pont d’où sera tiré le feu d’artifice !!

 

 

Après cette bonne journée au soleil, nous avons eu la bonne surprise de constater que ici, il y a deux feux d’artifice : 1 à 21h00, et 1 à minuit. La classe !!

 

 

 

 

 

Bon, nous rentrons en métro pour aller nous coucher après cette belle journée au soleil.

Les enfants sont fatigués, ils se défoullent dans le métro. Heureusement, il n’y a que nous dans  le wagon ( P.S : me rappeler de ne plus leur prêter l’appareil photo).

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Nous avons évidement 2 jours plus tard, souhaité l’anniversaire d’Eloïse. Restaurant en terrasse, au bord de la mer : trop agréable.

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Nous avons fini par un petit aperçu de la faune locale :

Un gros poisson ...
Un gros poisson …

 

 

 

 

 

le légendaire Kookaboora
le légendaire Kookaboora

 

 

 

 

 

La faune locale, toujours...
La faune locale, toujours…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour terminer, un petit clin d’oeil à mon papa, qui aime le camembert de Normandie :

 

Miam !!
Miam !!

 

 

Kho yao noï

Pour terminer notre séjour en Thaïlande, nous avons passé 2 semaines de repos à Ko Yao noï, une île paradisiaque juste à coté de Phuket.

Au programme, repos, piscine, soleil, visites et plongée ( du post précédent).

Nous y avons fait des belles rencontres, et notamment des Français qui ont investi là-bas.

Petit clin d’oeil à Raymond et Nadine, ainsi qu’à Jean-paul et Patricia.

Voici la photo du coin  prise depuis la terrasse de notre « home » local :

 

 

 

 

 

D’autres photos de  « notre » plage

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons passé notre premier Noël au soleil, et passé le réveillon en terrasse !! Ca nous change de la Normandie.

Le monde est petit :le chef en cuisine est Français aussi.

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Après ces 15 jours de repos bien mérités, nous repartons, mais cette fois pour l’autre hémisphère. Il va faire chaud  aussi !!

 

 

 

 

 

 

 

 

Le pays de la plongée ( aussi)

Évidemment,  on ne peut pas aller en Thaïlande sans expérimenter la plongée, dans des mers turquoises et chaudes, avec tout plein de poissons.

Nathalie, Alexandra et Eloïse ont pu passer leur brevet de plongée open water, tandis que je passais l’advanced. Candice et Amaury se sont regalés avec le snorkling, et  un baptême avec bouteilles.

J’ai tout de même réussi à me faire charger par un requin pointe noire. Il a dû me confondre avec un truc mangeable. Ma monitrice ( qui s’appelle Saphir, joli prénom !) en a mordu son détendeur de peur et de surprise. Mais quand je me suis retourné vers lui, il s’est rendu compte de son erreur et est reparti aussi vite ( ça nage vraiment vite un requin). Ca tombait bien, il n’était plus qu’à un mètre de mes palmes.

Au final, une rencontre stressante, mais pas dangereuse, (le requin pointe noire n’est pas une menace pour les plongeurs).

 

Nous avons regroupé les photos de nos aventures sous marines juste là :

 

Enjoy!!